Quel est le rôle du conseiller en gestion de patrimoine ?

Le conseiller en gestion de patrimoine peut travailler à son compte ou pour une entreprise. Il existe en France un très grand nombre d’entreprises spécialisées dans la gestion de patrimoine dans la mesure où la demande n’a jamais été aussi élevée. Aujourd’hui, nous allons découvrir ensemble quel est le rôle du conseiller en gestion de patrimoine et quelles sont les études nécessaires pour faire ce métier.

A quoi sert un conseiller en gestion de patrimoine ?

Le conseiller en gestion de patrimoine a pour mission de guider et d’aider ses clients dans l’investissement et le placement d’argent. Le CGP est en quelque sorte un expert patrimonial qui agira dans différents secteurs d’activité : immobilier, finance, fiscalité, succession… Il faut donc avoir des connaissances poussées dans l’ensemble de ces secteurs pour conseiller au mieux sa clientèle. Faire fructifier son patrimoine est loin d’être évident. C’est pourquoi les particuliers ont tendance à faire appel à des gestionnaires pour éviter de faire des erreurs qui peuvent parfois être dramatiques.

Il faut savoir qu’un conseiller en gestion de patrimoine se doit d’être indépendant et impartiale. Il doit uniquement proposer des placements ou des investissements intéressants pour son client sans avoir des avantages personnels derrière. Enfin, il prendra donc en compte l’ensemble du marché pour proposer les solutions les plus appropriées à ses clients.

Comment devenir conseiller en gestion de patrimoine ?

Comme indiqué précédemment, être gestionnaire de patrimoine demande des compétences dans différents secteurs d’activité : comptabilité, finance, immobilier, économie, fiscalité… Il est donc important de faire des études au-préalable pour se former comme il se doit. Le chemin le plus classique est de faire une licence à l’université en économie ou finance avant de se lancer dans un master plus spécialisé. Il existe différents types de masters qui mènent au métier de conseiller en gestion de patrimoine. Vous pourrez soit opter pour un master en université ou en école de commerce. Les deux choix se valent.

Quelles sont les offres de mutuelles pour les professionnels de santé ?

Vous êtes médecin et vous souhaitez choisir une mutuelle santé qui vous correspond ? Le choix de la mutuelle peut s’avérer une tâche compliquée et pourtant très importante à prendre. Grâce à sa complémentarité santé, vous pouvez bénéficier de bonnes garanties avec un niveau intéressant des remboursements de vos frais médicaux. Aujourd’hui, de nombreuses offres de mutuelles pour les professionnels de santé subsistent. C’est pourquoi Regard Vif vous a concocté quelques conseils et astuces pour choisir au mieux sa mutuelle santé pour vous, professionnels de santé.

Qu’est-ce qu’une mutuelle santé professionnelle ?

La mutuelle santé professionnelle vise à compléter, en partie ou en totalité, les dépenses de santé qui ne sont pas remboursées par la Sécurité sociale. Appelée également la mutuelle collective, elle concerne les salariés du secteur privé ainsi que leurs collaborateurs. Obligatoire depuis le 1er janvier 2016, les mutuelles professionnelles comportent de nombreux avantages aussi bien pour les salariés que pour les employeurs. En effet, pour les employeurs, la contribution patronale au paiement des cotisations de la mutuelle est déductible du bénéfice imposable de l’entreprise. Ainsi, la mutuelle d’entreprise permet aux employeurs de faire quelques économies. De plus, avec la mutuelle, les entreprises disposent d’une exonération de charges sociales d’environ 6 % du PASS tous les ans. Par ailleurs, pour les salariés, la mutuelle santé pour les professionnelles est plus avantageuse et moins coûteuse que les complémentarités santé individuelle.

Quelle mutuelle pour quelle profession de santé ?

De nombreuses mutuelles de santé existent en fonction des professions. Par exemple pour le corps médical, nous pouvons séparer les différentes offres de mutuelles en deux grandes catégories :

  • Les médecins, les chirurgiens et les dentistes
  • Les infirmiers, les ambulanciers, les pharmaciens, les thérapeutes, etc.

En ce qui concerne la première catégorie, c’est-à-dire, les médecins, les chirurgiens et les dentistes des remboursements à 100% de la BRSS suffisent puisqu’ils ont recours aux auto-prescriptions. Alors, si vous êtes dans cette catégorie il est primordial de choisir pour une mutuelle avec un bon remboursement pour les médicaments ou les soutiens psychologiques et de cures contre le stress. Nous vous conseillons de préférer une mutuelle de santé créée par des médecins, car ces derniers connaissent vos besoins.

Quant à la deuxième catégorie, ne pouvant pas s’auto-prescrire de médicament, le remboursement efficace des consultations par la complémentaire santé est inévitable. Nous vous recommandons d’opter pour des garanties avec des taux à partir de 200% de la BRSS.

Quelle technologie est au service des éleveurs pour l’identification animale ?

L’identification des animaux est un enjeu des plus importants pour l’éleveur moderne. En effet, tandis qu’avant l’identification avait pour but principal de lier l’animal à l’éleveur, ce n’est plus vraiment le cas aujourd’hui. L’idée de l’identification des animaux s’inscrit plutôt dans une logique de traçabilité afin de garantir la provenance des bestiaux mais aussi de garantir un suivi complet en cas de problème. Mais comment identifier les animaux ? Nous allons voir l’évolution des méthodes d’identification, des plus rudimentaires aux plus technologiques.

Le marquage au fer rouge

Il s’agit de la méthode la plus ancienne puisqu’elle date de 4000 ans. Elle consiste à apposer un fer rouge sur la peau de l’animal pour y faire une marque permanente. Cette méthode d’identification présente plusieurs inconvénients parmi lesquels :

  • Le marquage est visuel et donc peut être déformé avec la croissance de l’animal, caché avec les poils ou encore semblable à celui d’un autre éleveur
  • Il ne permet pas non plus un haut degré de précision, sous peine de devoir multiplier les marquages
  • Il détériore et dévalue le cuir de l’animal
  • Il est source de douleur et de stress pour l’animal

Le marquage à froid

Le marquage à froid consiste à apposer une marque physique sur l’animal moyennant de l’azote liquide. Cependant, cette méthode présente les mêmes désavantages que le marquage à chaud, à ceci près que la douleur pour l’animal est supposée moindre. De plus, ce marquage est cher.

Le tatouage

Le tatouage s’inscrit dans la même lignée que le marquage à chaud ou à froid : utiliser un signe visuel pour identifier l’animal. Pour les animaux, le tatouage se fait au niveau de l’oreille. Comme pour le marquage, le tatouage ne permet pas d’inscrire de nombreuses informations et la lisibilité est bien souvent compliquée.

Les boucles

Avec la nécessité d’une traçabilité accrue, une nouvelle forme de traçabilité s’est développée grâce aux boucles. Les boucles sont des morceaux de plastiques que l’on fixe aux oreilles des animaux. Sur ces morceaux de plastique sont imprimées au laser les informations principales permettant une durabilité du produit. Cela a permis de faciliter l’identification des animaux sans pour autant supprimer toutes les erreurs. En effet, dans le cadre du déplacement des animaux, l’enregistrement se réalisait à la main et était sujet aux erreurs de retranscription.

C’est pourquoi ce sont ensuite développées les boucles avec codes-barres. Ces boucles se présentent de la même manière que les boucles classiques mais peuvent être lues au moyen d’un scanner, ce qui gomme une partie des erreurs. Cependant, si le code barre est sale, la lecture de ce dernier devient tout de suite plus compliquée.

L’arrivée de la technologie et du RFID

Afin d’améliorer encore plus la traçabilité et l’origine des bestiaux, les boucles RFID se sont développées. Le RFID est une technique d’identification basée sur la fréquence radio. Selon les transpondeurs utilisés, il est possible de stocker plus ou moins d’informations sur l’animal.

Néanmoins, comme c’est le cas pour le code barre, cette technologie nécessite une infrastructure électronique afin de pouvoir tirer profit de cette technologie.

Quoiqu’il en soit, la traçabilité RFID est un grand pas en avant dans la traçabilité pour les éleveurs, d’autant plus que maintenant des implants RFID sous-cutané existent et sont placés sous la peau de l’oreille de l’animal.